Supinfo : mon école... ma vie... mon ex !
Alors oui, dit comme ça, on pourrai penser que je parle de trois choses différentes. Mais non. Je m'explique :
Tout commença avec un gentil monsieur du nom d'A***k M. grand manitou de Supinfo monde.
Lequel par inadvertance avait apparement utilisé notre argent pour... ben en fait, là est tout le problème ! On ne sait pas pourquoi.
Le fait est que quelque temps plus tard - aux environs de noel 2010 pour être exacte - notre directeur régional prit la mouche; c'était semble t'il déjà fait depuis longtemps mais c'est à cette époque que cela arriva à nos oreilles encombrées par divers lecteurs MP3.
Il décida de changer les choses en profitant de son statut de franchisé.
Ceci ne plut pas du tout à monsieur M. Un bras de fer judiciaire s'engagea, les parties se contredirent à qui mieumieu et les étudiants furent baladés entre les deux tel une balle de ping-pong livrée à deux coréens sur-vitaminés.
Voici ce qui se passa durant les quelque mois passé.
Puis vin tant bien que mal le temps des examens de fin d'année. Après avoir fait pas moins de 5 hôtel différents (lesquels abritaient alors le Supinfo "officiel" de monsieur M) et notre campus initial bordelais.
La encore le lieu fut...surprenant : en effet, nous devions passer nos examens "en ligne" dans une salle des fêtes à Mérignac dépourvue de réseau.
Les exams furent d'une qualité plus que médiocre. autant au niveau de la rédaction que de la logique des questions : imaginez du droit français, enseigné en français et évalué en anglais avec une part de franglais pour les termes intraduisibles.
Pour finir, quatre jours avant le début de mon nouveau stage d'été, ma convention c'est vue refusée par ma chère école sans motif valable.
Bref, cette année fut une vaste blague, et ils nous auront emmer... jusqu'à la fin !
En cet honneur, je vais voir ailleurs s'il y fait meilleur.
Adieu Supinfo