Il y a de ça maintenant un mois et trois semaines, sur un coup de tête, un vendredi soir, je me suis dit "et si tu te mettais au roller ?! après tout ça fait une plombe que tu veux essayer".10 minutes plus tard, sur gtalk, j'en touchais 2 mots à Psycho. 15 heures après (le lendemain donc) je chaussais mes Oxelos - en grand ignorant que j'étais.
J'ai très vite découvert que des rollers, contre toute attente... ça ROULE ! Et pas qu'en avant d'ailleurs à mon grand damne.
Mais ne brulons pas les étapes: Le premier pas donc, ben... réussir à en faire un justement et pour ça, se mettre en posture verticale et s'y tenir.
A ce moment là, j'ai noté deux choses.
- premièrement, si l'être humain est doté de pieds et non de roulettes c'est pour une bonne raison.
- deuxièmement, si l'être humain n'est pas naturellement doté de protection, c'est parce que considérant la première observation, sur ses pieds, il tien admirablement bien debout. Sur les roulettes en revanche, c'est une autre histoire.
Ce qui nous amène inévitablement à ceci :
Qu'à cela ne tienne, je ne me suis pas découragé et ai continué à mouliner des bras et à marcher en canard sur mon morceau de bitume... ou de pavés; sous le regard amusé de Psycho et Una - Ninia, présente pour l'occasion ayant déjà fort à faire avec se propres patins.
Ce qui m'a amené à deux nouveaux constats :
- Si nous avons des pieds et non des roues c'est aussi parce que les roues s'adaptent mal aux surfaces irrégulières
- Les pavés sont justement des surfaces pour le moins irrégulières.
Vous connaissez la suite :)
A ce stade, j'en étais donc à tenter de penser à mon équilibre, au fait de rouler vers l'AVANT, au terrain qui pouvait bien se présenter après le prochain mètre que je parcourrais.
J'étais loin d'avoir le temps de me douter que le lendemain matin, marcher aussi serai devenu un problème... >.<
Les leçons se sont depuis enchainée à un rythme plus ou moins soutenu et j'arrive enfin à "patiner".
Mes Oxelos se sont vus ressemant remplacés par des patins un poils meilleurs, mais trônes encore au milieu de ma chambre... mon coté sentimental ?